En tant qu’accompagnant, « il est important de savoir reconnaître sa limite d’intervention face à certains troubles psychologiques pouvant être présentés par un client. » C’était l’objectif de la session Carl Rogers de mai : « explorer les processus psychopathologiques généraux (névroses, psychoses, états limites) et engager les éléments permettant de repérer chez la personne accompagnée les signaux importants à prendre en compte. »
Ce stage invite à revisiter le cadre d’intervention d’un coaching, ce qui peut s’y jouer, à l’inverse ce qui doit être proscrit au risque de se mettre Soi et/ou l’Autre en danger. Il incite à porter une attention toute particulière au rapport du client avec le réel, le risque étant, s’il y a déconnexion, d’entretenir chez celui-ci, par la parole, une réalité fantasmée.
Une très belle session qui rappelle qu’une des clés pour aller mieux est de prendre conscience de ce qui se passe pour soi et d’apprendre à le gérer pour assurer une certaine fluidité psychique.